Même si l'effervescence des stations de ski peut être grisante, et qu'un
chocolat chaud au sommet des pistes avec la montagne à perte de vue est
toujours une belle expérience, cette année, nous avons eu envie de revivre un
séjour à la montagne
au ralenti.
Nous avons trouvé un logement dans le petit village de Villar-d'Arêne. Situé
dans le massif des Écrins, avec la Meije pour compagnie.
Un lieu paisible où venir se ressourcer. Avec de belles options, hors
station, pour randonner en raquettes. Et profiter du cadre magnifique
offert par ces montagnes enneigées.
Avec même un domaine de ski de fond familial à proximité, tout en n'étant qu'à
une petite demi-heure des Deux Alpes.
J'aime particulièrement le petit-déjeuner. Ce moment de la journée qui
permet de démarrer tout en douceur.
La lumière du soleil qui inonde progressivement la maison. Les odeurs de
pain grillé qui emplissent la cuisine. Les premières gorgées d'Earl Grey
avec un peu de sucre et un nuage de lait.
Lorsque j'ai un peu de temps, le week-end en général, j'aime me préparer un
bon
porridge. Onctueux. Réconfortant. Mais en semaine, j'alterne entre un bol de
granola
et des tartines beurre / marmelade.
Plus que la confiture de fraise ou de myrtille, plus que la
gelée de sureau
que j'apprécie tant sur des scones encore tièdes, c'est la marmelade à
l'orange qui a ma préférence pour démarrer la journée.
J'en achète, régulièrement, notamment au Comptoir Irlandais où une large gamme
me tend toujours les bras, mais j'aime aussi préparer, chaque année, ma
petite fournée maison.
La recette est très simple ; elle ne demande qu'un peu de temps passé à couper
la peau des oranges, et un peu de patience pour la cuisson !
La recette sur laquelle je m'appuie pour faire mes pots de marmelade provient
du livre (dont j'aime particulièrement nombre de recettes)
Tea fit for a Queen.
À l'origine, elle est prévue pour être réalisée avec des oranges de Séville,
pas toujours faciles à trouver, mais peut très bien se faire avec d'autres
variétés ; le gout sera simplement différent en fonction de chaque orange
choisie.
Les oranges que l'on trouve désormais sur les étals sont rarement riches en
pépins. La recette originelle prévoit de les rassembler dans un petit sachet
mousseline et de l'accrocher à la casserole pendant toute la durée de la
cuisson afin de profiter du pouvoir gélifiant de la pectine naturellement
présente dans les pépins. À défaut, j'utilise donc de l'agar agar.
Pour le whisky, qui est un ingrédient facultatif mais qui apporte un goût très
intéressant, j'utilise le whisky Clan Campbell dark, qui est plutôt doux,
moelleux et onctueux (sans goût tourbé).
Ingrédients
Pour une douzaine de pots à confiture :
- 1,5 kg
d'oranges non traitées - 3,5 L d'eau - 3 kg de sucre de canne
blond - 6 tbsp de whisky (facultatif) - de l'agar agar
Recette
1. Couper les oranges en deux et presser le jus. Retirer les pépins s'il
y en a, et récupérer toute la chair avec une cuillère à soupe.
2. Découper les peaux d'orange en lamelles ; c'est le moment de choisir si
vous les préférez fines ou épaisses.
3. Dans une grande casserole, porter à petite ébullition le jus d'orange, la
chair, les lamelles d'orange et l'eau. Puis laisser mijoter tranquillement
pendant une heure.
4. Ajouter le sucre et mélanger jusqu'à dissolution, à feu doux.
5. Porter à nouveau à petite ébullition.
6. Pendant ce temps, diluer l'agar agar dans quelques gouttes d'eau froide.
Pour la quantité, suivre les instructions du paquet pour les amateurs de
marmelade bien prise. Pour ceux qui la préfèrent plus liquide, diminuer un peu
la quantité.
7. Incorporer l'agar agar à la préparation et laisser mijoter 30 bonnes
minutes afin de la faire réduire un peu.
8. Pour savoir si elle est prête, placer deux soucoupes au réfrigérateur.
Puis, lorsqu'elles sont froides, déposer une cuillère à café de marmelade et
remettre deux minutes au frigo. Passer une cuillère en bois sur la marmelade à
la sortie du congélateur ; si elle se froisse au passage de la cuillère, elle
est prête. Sinon, faire cuire cinq minutes de plus et refaire l'expérience.
9. Lorsque la marmelade est prête, ajouter le whisky et verser dans des bocaux
préalablement stérilisés. Conserver au réfrigérateur lorsque le pot est
ouvert.
Étiquetage
J'ai mis plusieurs mois à me décider.
Mais depuis que nous vivons en maison et que nous avons un grand congélateur,
je prépare régulièrement des petits plats d'avance (notamment avec les légumes
du jardin) sur lesquels j'ai besoin de faire figurer la date de production.
J'ai donc fini par choisir une petite imprimante à étiquettes thermique (sans
encre donc). Que ce soit pour mes plats au congélateur ou pour mes pots
de gelées et marmelades.
Il existe tant de modèles que j'ai eu beaucoup de mal à trancher, mais je suis
ravie de celui pour lequel j'ai opté. L'imprimante ne tient pas beaucoup de
place, l'impression est très nette, il existe plusieurs tailles et couleurs de
rubans (j'ai pris du
ruban transparent pour
les pots en verre du garde-manger), je peux rajouter des illustrations et
cadres, et il y a un grand choix de polices de caractères.
J'aime particulièrement la montagne. En été. Comme en hiver. Avec
ses paysages enneigés qui ont toujours l'air un peu féérique.
Mais je ne skie pas. Je peux faire quelques descentes sur des pistes
vertes très simples. Rien de plus.
Et puis la vitesse ne me grise pas. Faire et refaire les mêmes descentes
perd donc tout son intérêt.
Pourtant, il y a quinze jours, j'ai passé un très beau séjour à Megève. Sans
enfiler une paire de ski.
L'occasion de vous faire un article sur ces trois jours à la montagne sans
skier. Car oui, on peut en profiter pleinement sans pour autant mettre le
pied sur les pistes !
Chaque hiver, si la neige est de sortie, je me réjouis à l'idée d'enfiler ma
paire de Moon Boot. Je voue une passion particulière pour ces bottes
énormes, moelleuses, cosy, dodues, lunaires, dans lesquelles je me sens
emmitouflée comme dans une grosse paire de chaussons.
Chaque année, vous les voyez passer sur mon
compte Instagram. Trop heureuse que je suis de faire une photo avec. Avant de
partir sur les chemins enneigés pour une promenade au rythme des "scroutch
scroutch" de mes pas dans la neige.
C'est un plaisir que j'ai pourtant découvert très tard. Celui de la
montagne en hiver. Mes parents préféraient la mer en été, alors j'ai fait
ma première descente en luge
il y a deux ans seulement.
Et ce n'est que cette année que nous avons pris de véritables vacances à la
neige. Cinq jour en Savoie
pour profiter pleinement de la montagne en hiver, hors station, dans un cadre
plus calme, pour randonner, prendre le temps d'admirer les paysages, regarder
les flocons tomber derrière la vitre...
L'occasion de vivre en Moon Boot. Que je me garde bien de faire
disparaître sous un large pantalon de ski.
C'est mon petit plaisir futile : enfiler ma tenue de promenade dans la
neige. Faite de basiques qui tiennent chauds dans lesquels je me sens
bien.
Visiblement, ça vous a intrigué, que je ne porte pas toujours de pantalon ni
de veste de ski. Et vous étiez curieux de savoir
ce que j'emportais avec moi dans ma valise, pour avoir chaud tout en
profitant de la neige. Parce qu'après tout, une tenue de ski n'est pas
toujours utile - surtout si on ne skie pas. Alors qu'une paire de raquettes,
elle, peut rapidement devenir un indispensable !
Alors je vous dis tout : de mes tenues pour rester au chaud, de mes
indispensables à la neige et des petits équipements à emmener avec soi.
1. Les vêtements
Je suis frileuse. C'est un constat. J'ai toujours plus froid que les gens
autour de moi. J'ai même parfois bien besoin de la bouillotte au fond du
lit en hiver.
Pourtant, je me passe volontiers du pantalon de ski et de ma veste assortie
dès que j'en ai la possibilité parce que je préfère mes tenues de ville que je
trouve plus flatteuses (soyons honnête) et plus confortables aussi (bien que
la dizaine de poches de la veste de ski présente un intérêt non négligeable).
Mains, pieds et tête
C'est l'astuce n°1 pour ne pas avoir froid :
maintenir ses extrémités au chaud. Les mains et les pieds, qui sont des zones très sensibles du corps où
l'afflux sanguin diminue avec le froid, sans oublier la tête qui est l'endroit
par lequel la chaleur s'échappe le plus facilement.
Je ne pars donc jamais sans un bonnet épais que je descends sur mes
oreilles (autre extrémité à protéger): en coton torsadé classique la plupart
du temps, mais j'ai également un modèle avec une doublure en polaire, à
l'intérieur, pour les journées les plus froides.
Pour les mains, je n'enfile la paire de gants de ski que si je vais toucher la
neige (pas forcément pour faire un bonhomme de neige ; les chutes, ça compte
aussi !) ou si j'utilise des bâtons, en ski de fond par exemple. Le reste du
temps, j'ai une paire de sous-gants qui se portent très proches de la
peau et une paire de gants ou de moufles en polaire / fausse peau de
mouton plus larges ; la couche d'air entre les deux permet de bien isoler du
froid.
Même technique pour les pieds. Avant de les glisser dans mes bottes,
j'enfile une paire de chaussettes classiques (mais je suis en quête de modèles
en laine) puis une paire de
chaussettes polaire pour bottes
achetées chez Aigle. En simple promenade, je marche avec mes
Moon Boot. Et quand il est question d'enfiler des raquettes, je passe sur ma paire de
bottes de neige de la marque Sorel (modèle 1964 PAC 2).
Le reste du corps
Depuis des années, je porte la même chose pour aller me promener dans la
neige. Une tenue confortable dans laquelle je me sens bien, toujours
composée de la même façon.
- un débardeur proche de la peau pour garder le ventre bien au chaud (à
absolument rentrer dans le pantalon),
- une veste molletonnée sans manche (mes deux modèles viennent de
l'enseigne Zara ; une que j'ai depuis 5/6 ans, et un second récemment déniché
sur Vinted) pour maintenir le centre du corps au chaud sans me sentir trop
engoncée dans mes vêtements en ajoutant une couche au niveau des bras,
-
une maxi écharpe plaid ou une plus petite mais avec faite en laine (j'aime
particulièrement celles de la marque
Lochcarron of Scotland
dont j'ai deux modèles en laine d'agneau et une en cachemire),
- un
manteau épais qui contient de la laine ou une cape pour les journées plus
chaudes,
- et un simple jean.
Je réserve le pantalon et la veste de ski pour les sorties où mon corps
va inévitablement entrer en contact avec la neige. Quand il y a une telle
épaisseur que les raquettes vont s'enfoncer profondément et me renvoyer de la
neige dans les jambes, ou pour le ski (de fond, essentiellement, car je ne
skie pas réellement) à cause des chutes inévitables ! Auquel cas l'écharpe
passe dans le sac car ma tenue de ski me tient très très chaud ; elle devient
seulement utile lorsque l'on s'arrête pour boire un thé ou un chocolat chaud.
2. L'équipement
Depuis plusieurs années, on veut s'acheter des raquettes. Et,
depuis plusieurs années, on remet à l'année suivante. Si bien que, cette
année, quand on a pris le temps de regarder pour en acheter une paire, les
stocks étaient dévalisés.
C'est pourtant ce que l'on a le plus utilisé durant notre séjour en Savoie. Pour
randonner comme pour simplement se rendre à la voiture que l'on avait dû garer
dans un hameau plus bas.
J'avais le
modèle 206
de la marque française TSL, celui que je comptais d'ailleurs acheter. Elles
sont assez légères et ont suffisamment de crampons pour la majorité des
chemins que l'on a emprunté. Et, très important, elles ont une cale de montée
(ce n'est pas le cas de tous les modèles de raquettes) qui facilite tellement
la marche dès qu'il y a un peu de dénivelé. À choisir plutôt en métal car
c'est une pièce que l'on manipule beaucoup.
Les raquettes sont régulièrement proposées avec des
bâtons de marche. Personnellement, ça me dérange plus qu'autre
chose car j'aime avoir les mains libres ; je préfère donc partir sans. Mais ça
dépend vraiment des personnes ! Pour une première sortie, je
conseillerais de louer une paire de raquettes avec des bâtons, et de voir
s'ils vous encombrent ou si vous appréciez leur compagnie.
3. Dans le sac à dos
C'est notre petite rituel d'avant balade. On sort les thermos et
on prépare notre boisson chaude. Thé ou chocolat chaud, selon notre
humeur. Pour avoir le plaisir de s'arrêter et de profiter du paysage avec
une tasse bien chaude au creux de la main.
Ceux que l'on utilise le plus parce qu'ils conservent bien la chaleur et on
l'avantage d'avoir une tasse intégrés sont les
thermos de la marque Quechua
de 400 ml. Ce qui est assez petit mais pratique pour nous car on ne boit pas
la même boisson (thé au lait pour moi, thé sans lait pour le chéri).
On part également avec :
- un peu d'eau fraîche dans une bouteille
Chilly's
ou
Qwetch
; j'ai un modèle de chaque et elles me conviennent bien outes les deux (pas
trop encombrantes ni trop lourdes),
- des barres de céréales pour les
éventuelles baisses d'énergies parce qu'avec le froid, on consomme bien plus
de calories qu'en temps normal,
- et un baume pour protéger mes lèvres du
froid (sinon, elles finissent inévitablement par se fendre !).
En bonus, on peut aussi glisser des chaufferettes à déposer au fond des poches
; pratique pour réchauffer les mains après les avoir sorties des gants pour
boire son thé !
Et vous, quels sont vos indispensables pour partir à la neige ?
L'avoir ratée, le seul week-end où elle était tombée en Ardèche l'hiver
dernier, m'avait un peu déçue. Laissée sur ma faim. Comme si l'hiver n'était
pas vraiment l'hiver sans avoir senti la neige craquer sous mes pas.
Alors au premier flocon, au tout premier tombé au mois de décembre, on a mis
le cap sur
le Pilat.
Un premier dimanche.
Puis un second.
Pour se promener quelques heures dans les sous-bois enneigés.
Nous partons rarement en vacances à la neige.
Faute de savoir skier, notamment.
Préférant les endroits plus calmes que les stations, aussi.
Pourtant, cela faisait quelques années que j'avais envie de prendre des
vacances en hiver. Quelques jours dans un petit chalet entouré de neige.
D'où l'on pourrait partir randonner avant de rentrer se réchauffer auprès du
feu, une tasse de chocolat chaud dans la main.
Et c'est exactement ce que l'on a fait.
Cinq petits jours en Savoie dans un minuscule village - un hameau même -
loin du bruit de la ville et proche de la nature.
Comme si le cycle de la nature, mais aussi les fêtes qui jalonnent notre calendrier, nourrissait notre quotidien de façon si différente qu'ils en façonnent notre quotidien.
Personnellement, je vis très différemment l'hiver ou l'été. Ou encore le printemps et l'automne.
Je n'ai pas les mêmes envies, ni les mêmes besoins.
En hiver, avec le froid, la luminosité qui baisse, les jours qui sont plus courts, mais aussi avec les fêtes de fin d'année, j'ai envie de prendre soin de moi. De me draper de vêtements confortables et douillets, de manger des plats qui me font plaisir et qui me réconfortent, de revoir ces films que je connais sur le bout des doigts mais qui me donnent du baume au cœur...
Alors cette année, j'avais envie de vous proposer une petite série de quatre articles intitulés "une saison pour..." avec des conseils / recettes / outils pour profiter de cette énergie nouvelle apportée par chacune des quatre saisons.
En commençant par l'hiver, pour prendre soin de soi.
Se faire plaisir en cuisine
J'ai l'intime conviction que ce que nous mangeons se reflète sur notre humeur.
De façon positive, ou négative.
Quand j'ai faim, je me désintéresse de tout. Je suis un peu grognon aussi.
Et si j'ai une envie subite et irrésistible de burger, je sais qu'il est préférable de sortir un petit pain du congélateur et de faire jaillir le ketchup et la mayonnaise si je ne veux pas réussir à m'auto-contrarier.
(ça marche aussi avec les makis ou la soupe de petits pois !)
Ce qui est d'autant plus vrai en hiver, avec le manque de soleil qui a déjà un impact négatif sur le moral.
Alors c'est le moment de s'écouter :
- sortir acheter une galette quand elles nous font de l’œil parce que la saison des galettes est trop courte pour s'en priver,
- attraper une poêle et remplir les assiettes de belles crêpes encore chaudes avec du jus de citron et du sucre en poudre par-dessus (et pas seulement pour la Chandeleur),
- faire chauffer du lait avec quelques morceaux de chocolat noir pour s'offrir un vrai bon chocolat chaud, qu'il soit 16h ou 22h.
Et pour des envies de bugnes, je vous redonne le lien vers la recette de ma grand-mère avec laquelle je me régale chaque année !
* * *
Découvrir la gratitude
La pratique de la gratitude consiste à être reconnaissant de ce que l'on a déjà pour trouver du bonheur dans le présent. C'est un moyen d'ouvrir les yeux sur ce que la vie nous offre de beau, comme tous ces petits plaisirs du quotidien à côté desquels on peut passer si on ne leur prête pas attention.
On peut commencer en douceur.
Le soir, sous la douche par exemple, on liste mentalement trois choses que l'on a apprécié dans la journée.
Un rayon de soleil qui nous a réchauffé quand on attendait le bus, un projet qui nous tenait à cœur qui s'est concrétisé, un compliment que l'on a reçu... tout ce qui a contribué à égayer la journée.
Ce n'est pas tous les jours faciles.
Et parfois, on oublie aussi.
Mais c'est une petite habitude qui incite le cerveau à se focaliser sur ce qu'il a de positif dans le quotidien.
Et pour en garder une trace, on peut les noter sur un carnet.
Ou bien dans l'application (très simple et très agréable à utiliser) What's Good. Chaque jour, on découvre une phrase positive et inspirante, ainsi qu'une de nos notes prises précédemment. Et juste avant de passer à l'écriture, l'application nous invite à quelques secondes de respiration guidée.
Se (faire) chouchouter
Que ce soit 10 minutes, 1 heure ou une journée entière, l'hiver est propice aux instants cocooning.
Je ne connais pas de meilleur moment pour profiter de la chaleur d'un sauna que par une journée bien froide, grise, pluvieuse, ou même enneigée.
Mais si on manque de temps pour une journée au spa, on peut aussi se recréer ces moments de pure détente à la maison.
Il suffit de quelques petits détails pour transformer la routine du soir en moment cocooning :
- une bougie parfumée avec une odeur douce qui rappelle l'ambiance olfactive d'un spa accompagné de sons apaisants (feu de bois, pluie, vent...) ou une playlist de musiques zen,
- un linge chaud et humide à laisser poser une petite minute sur son visage avant de passer au gommage,
- un masque tissu pour les yeux et/ou le visage,
- ou un masque liquide que l'on peut masser une petite minute avant de le laisser poser ; à retirer ensuite avec un linge chaud et humide, comme au spa, pour un maximum de détente,
- et un rouleau de jade - ou de quartz - pour terminer par un petit massage facial.
* * *
Définir ses envies pour l'année à venir
Je n'aime pas prendre de bonnes résolutions.
Parce que je trouve que cela nous enferme, malgré nous, dans un système fait d'objectifs à atteindre pour réussir son année. Et que ce n'est pas assez moteur, finalement.
Alors à chaque début d'année, j'essaie plutôt de réfléchir à mes envies profondes pour les douze mois à venir. Comme des lignes directrices.
Ces dernières années, je me suis laissée guider par mes envies de simplicité, de nature, de déconnexion, de vie plus slow. Ce qui a été le déclencheur de nombreux changements dans ma vie : j'ai commencé à travailler avec des marques plus proches de mes valeurs et mon blog s'est de plus en plus dirigé vers le slow living, on a privilégié des voyages sous forme de road trip et fait plus de randonnées pour découvrir des panoramas à couper le souffle, j'ai aussi appris de nombreuses choses sur le jardinage dont j'ignorais tout il y a encore quelques années, et on a décidé de déménager à la campagne dès que possible.
L'idée est simplement de prendre le temps de se sonder.
D'essayer de mettre le doigt sur ce qui nous motive et nous donne envie d'avancer.
D'apprendre, de découvrir, d'aller à la rencontrer d'autres personnes ou activités.
Dans sa vie personnelle et / ou professionnelle.
Et vous, quels conseils rajouteriez-vous pour se recentrer