Je ressens toujours un grand plaisir à l'idée d'enfiler une paire de bottes pour aller cueillir ce qui composera mon déjeuner. Que ce soient...
* La phrase titre de l'article, c'est une des déclaration que j'ai fait à un feu tricolore pour qu'il passe plus rapidement... au vert.
Ces derniers jours, je me suis retrouvée face à un obstacle de taille : convaincre ma môman. Tout le monde a au moins connu ça une fois dans sa vie, certains ont même passé leur adolescence à ça. Sauf que, il ne s'agissait pas de la convaincre de me laisser la permission de minuit. Parce que hein, je vous rappelle que j'ai 20 ans, que je vis pendant l'année scolaire dans un appartement avec Chéri et que j'ai la permission de minuit et demi depuis déjà longtemps. Blague à part, il s'agissait là d'une vraie mission commando.
J'ai donc commencé par la règle n°1 : préparer le terrain. Mon maquillage de camouflage fut celui-ci : "Je descends à Valence mercredi... mais toute seule, il travaille." Il, c'est mon Chéri qui a dégoté une semaine de travail par l'intérim. Même cet été, c'est dur dur de trouver un petit boulot. "Va falloir que je prenne le car du coup."
Règle n°2 : faire surgir la requête dans sa tête, sans avoir à la prononcer, un jour plus tard. "Donc mercredi je descends à Valence tôt parce qu'il n'y a pas beaucoup de bus. Il va aussi falloir que je remonte le lendemain. Y aura peut-être un car tôt pour ne pas perdre ma journée..." On peut ajouter des sifflotements - si on sait siffler, ce qui n'est pas mon cas -, des regards désintéressés vers le ciel ou le plafond blanchâtre ainsi qu'une pincée de "je triture un stylo parce que la discussion ne porte pas sur un enjeu de taille."
Mais parce parfois, l'idée n'effleure pas l'esprit de l'interlocuteur, il faut bien se décider à le demander franchement, avant de se prendre un 'non'. Ma longue expérience (non, je ne suis pas vieille. Cela dis, en 20 ans, on apprend à convaincre sa génitrice. Souvenez-vous, quand vous ne vouliez pas aller dans le parc... !) m'a appris une chose : insister, ça énerve, et ça n'amène qu'à un 'non' plus définitif. C'est donc sans rien dire que je pars, l'air dépité...
Et que, moins de dix minutes plus tard, elle - ma môman - vient d'elle-même me voir pour accéder à ma requête...
Oui, j'aurais la voiture pour descendre à Valence, demain.
J'ai donc commencé par la règle n°1 : préparer le terrain. Mon maquillage de camouflage fut celui-ci : "Je descends à Valence mercredi... mais toute seule, il travaille." Il, c'est mon Chéri qui a dégoté une semaine de travail par l'intérim. Même cet été, c'est dur dur de trouver un petit boulot. "Va falloir que je prenne le car du coup."
Règle n°2 : faire surgir la requête dans sa tête, sans avoir à la prononcer, un jour plus tard. "Donc mercredi je descends à Valence tôt parce qu'il n'y a pas beaucoup de bus. Il va aussi falloir que je remonte le lendemain. Y aura peut-être un car tôt pour ne pas perdre ma journée..." On peut ajouter des sifflotements - si on sait siffler, ce qui n'est pas mon cas -, des regards désintéressés vers le ciel ou le plafond blanchâtre ainsi qu'une pincée de "je triture un stylo parce que la discussion ne porte pas sur un enjeu de taille."
Mais parce parfois, l'idée n'effleure pas l'esprit de l'interlocuteur, il faut bien se décider à le demander franchement, avant de se prendre un 'non'. Ma longue expérience (non, je ne suis pas vieille. Cela dis, en 20 ans, on apprend à convaincre sa génitrice. Souvenez-vous, quand vous ne vouliez pas aller dans le parc... !) m'a appris une chose : insister, ça énerve, et ça n'amène qu'à un 'non' plus définitif. C'est donc sans rien dire que je pars, l'air dépité...
Et que, moins de dix minutes plus tard, elle - ma môman - vient d'elle-même me voir pour accéder à ma requête...
Oui, j'aurais la voiture pour descendre à Valence, demain.
Kawaii humeur du jour :
Je vous l'avais dis, je suis maladroite.
Ce matin, je me suis brûlée le doigt bien
comme il faut (ça fait une bosse bien moche)
et ce soir, je trouve pas le moyen de me rebrûler
dessus... v.v Je vous dis même pas comme c'est
douloureux. L'air & l'eau chaude m'y font trop mal. ^^"
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En voilà une môman qu'elle est bien !
RépondreSupprimertrop sympa ta maman,
RépondreSupprimerpasse me voir et gagner à mon jeu, celluli-control floressance, il reste des lots à gagner jusqu'au 25 juin
bises, veggie
sympa la maman au final, sale gosse ! lol
RépondreSupprimersinon oui j'ai vu ma boulette sur mon blog désolée
RépondreSupprimerMamzellescarlett : Woui. =) Et c'est la mienne, pas touche. =p
RépondreSupprimerVeggie : Pas de problème, je vais voir ça. =) Merci pour l'info. Oui très gentille. ^^
Jasmine : Pas grave pour la petite boulette sur le concours. ^^ Mais je suis pas une sale gosse. Si si, c'est vrai en plus, c'est elle qui le dis. =D Quand on est ensemble en voiture (ça arrive quelques fois), elle préfère toujours que je prenne le volant, alors bon. ^^ Elle me fait confiance sur la conduite. =)
Toi aussi tu as un super pouvoir! (et la culotte par dessus les leggins?)
RépondreSupprimerVicky : Avec la chaleur qu'il fait en ce moment, je suis en train d'essayer une nouvelle tenue : shorty par dessus une mini-jupe. xD
RépondreSupprimerC'est bien d'avoir une maman qui comprend les sous-entendus, même avec un petit temps de retard!
RépondreSupprimerNatacha : Oui, mais pour le coup, elle a pas compris. Je lui ai carrément demandé. =p
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