Je sors de mes (autres) 4h de dissertations... et ça sent de plus en plus les vacances. Plus que deux jours et 5h de partiels, et à moi les vacances (scolaires, parce que McDonald'iennes, c'est pas pour tout de suite...)
Tout est bien qui est bien... ouais, enfin presque. Parce que c'est pas qu'on a maudit en chœur notre prof de Politique culturelle ce matin, mais presque. Jusque là, j'ai été gentille, je vous en avais pas parlé. Sauf que, elle ne mérite pas ma gentillesse. (Niark.) Que je vous explique. Avant les partiels, Blackberry (pour l'anonymat. Mais je vous assure, ça ressemble beaucoup à ça) nous annonce la présentation de l'examen : 4 questions de cours (réponse en dissert' format liliputien) et un texte dont il faudra faire ressortir les enjeux politiques.
Passe encore pour les 6 questions mais pour le texte, là, elle s'est bien fichu de nous. Non seulement on n'avait qu'une petite phrase toute riquiqui sorti (peut-être) d'une des 136 photocopies qu'elle nous a fait, mais en plus, la question n'avait rien à voir avec les enjeux politiques. v.v
Alors maintenant, je me donne le droit de la dénoncer ouvertement sur mon blog. Ouais, carrément. Parce qu'on a bien subi son cours, mais quand même. Déjà, l'intitulé de départ était "Droit de la culture". Au bout d'un cours et demi (c'est à dire, au milieu du second cours) pouf ! elle décide d'arrêter de nous balancer des mots juridiques dont on a jamais entendu parler sans nous les expliquer (je vous explique pas comme on était cooontent de ne rien comprendre) pour passer aux politiques culturelles. Mais non, elle n'y avait pas pensé en Juillet dernier, quand elle a su qu'elle nous avait en cours. Elle a bien le droit d'avoir des vacances jusqu'à janvier, que vous êtes mauvaise langue... * sifflote * Du coup, on est ensuite parti pour trois cours et demi et politique culturelle. Normalement, on a 12 cours dans le semestre. Ben elle a préféré tout nous balancer en vrac (et puis alors, pas que très rapidement. Non non, en vrai vrac. C'est à dire, un coup on parle de la révolution, puis ensuite du front populaire, et on revient faire un petit tour en 1912...) et nous occuper les cours suivants. On a donc lu des polycopiés et fait des recherches. Parce que d'un coup, comme ça en plein milieu du cours, elle lançait "Tiens, ça serait intéressant que vous cherchiez ce que c'est que ce théâtre". Ouais. Heureusement pour elle, deux cours ont sauté : l'un pour cause de maladie, l'autre parce que les cours à la fac étaient suspendus.
On a aussi eu la prof inverse, "PasseLeSelMinnie", qui nous fait acheter deux livres au début de l'année, et se rend compte au dernier cous qu'on en a étudié qu'un seul. Évidemment, à raison d'un chapitre par cours, ça pouvait pas aller très vite. Elle avait du oublié sa calculatrice le jour où elle a décidé de construire son cours comme ça. Comme quelques cours avaient été suspendues à la fac, les supérieurs ont demandé aux professeurs de reculer leurs partiels pour d'éventuels rattrapages. Alors nous on lui demande, à PasseLeSelMinnie, si on recule son partiel. Et voilà que tout sourire, elle nous dit fièrement "Ah non non, j'ai fini mon programme donc c'est inutile". Oui, elle l'a fini. Enfin, la moitié quoi.
Est-ce que ça vaut Mr Pasbon qui nous a fait un seul cours ? Et pas pour cause de grève, non. Lui, il voyage beaucoup, a travaillé avec Lacroix et Gauthier... le reste, c'est sans importance.
Sans oublier Zazou, dont je vous ai déjà longuement parlé...
Tout est bien qui est bien... ouais, enfin presque. Parce que c'est pas qu'on a maudit en chœur notre prof de Politique culturelle ce matin, mais presque. Jusque là, j'ai été gentille, je vous en avais pas parlé. Sauf que, elle ne mérite pas ma gentillesse. (Niark.) Que je vous explique. Avant les partiels, Blackberry (pour l'anonymat. Mais je vous assure, ça ressemble beaucoup à ça) nous annonce la présentation de l'examen : 4 questions de cours (réponse en dissert' format liliputien) et un texte dont il faudra faire ressortir les enjeux politiques.
Passe encore pour les 6 questions mais pour le texte, là, elle s'est bien fichu de nous. Non seulement on n'avait qu'une petite phrase toute riquiqui sorti (peut-être) d'une des 136 photocopies qu'elle nous a fait, mais en plus, la question n'avait rien à voir avec les enjeux politiques. v.v
Alors maintenant, je me donne le droit de la dénoncer ouvertement sur mon blog. Ouais, carrément. Parce qu'on a bien subi son cours, mais quand même. Déjà, l'intitulé de départ était "Droit de la culture". Au bout d'un cours et demi (c'est à dire, au milieu du second cours) pouf ! elle décide d'arrêter de nous balancer des mots juridiques dont on a jamais entendu parler sans nous les expliquer (je vous explique pas comme on était cooontent de ne rien comprendre) pour passer aux politiques culturelles. Mais non, elle n'y avait pas pensé en Juillet dernier, quand elle a su qu'elle nous avait en cours. Elle a bien le droit d'avoir des vacances jusqu'à janvier, que vous êtes mauvaise langue... * sifflote * Du coup, on est ensuite parti pour trois cours et demi et politique culturelle. Normalement, on a 12 cours dans le semestre. Ben elle a préféré tout nous balancer en vrac (et puis alors, pas que très rapidement. Non non, en vrai vrac. C'est à dire, un coup on parle de la révolution, puis ensuite du front populaire, et on revient faire un petit tour en 1912...) et nous occuper les cours suivants. On a donc lu des polycopiés et fait des recherches. Parce que d'un coup, comme ça en plein milieu du cours, elle lançait "Tiens, ça serait intéressant que vous cherchiez ce que c'est que ce théâtre". Ouais. Heureusement pour elle, deux cours ont sauté : l'un pour cause de maladie, l'autre parce que les cours à la fac étaient suspendus.
On a aussi eu la prof inverse, "PasseLeSelMinnie", qui nous fait acheter deux livres au début de l'année, et se rend compte au dernier cous qu'on en a étudié qu'un seul. Évidemment, à raison d'un chapitre par cours, ça pouvait pas aller très vite. Elle avait du oublié sa calculatrice le jour où elle a décidé de construire son cours comme ça. Comme quelques cours avaient été suspendues à la fac, les supérieurs ont demandé aux professeurs de reculer leurs partiels pour d'éventuels rattrapages. Alors nous on lui demande, à PasseLeSelMinnie, si on recule son partiel. Et voilà que tout sourire, elle nous dit fièrement "Ah non non, j'ai fini mon programme donc c'est inutile". Oui, elle l'a fini. Enfin, la moitié quoi.
Est-ce que ça vaut Mr Pasbon qui nous a fait un seul cours ? Et pas pour cause de grève, non. Lui, il voyage beaucoup, a travaillé avec Lacroix et Gauthier... le reste, c'est sans importance.
Sans oublier Zazou, dont je vous ai déjà longuement parlé...
Kawaii humeur du jour :
Je vais engueuler mon prof de théâtre !
Alors que tout le monde dormait paisiblement
(ou presque), je me réveillais, à 4h du matin,
avec une stupide chanson dans la tête (qui vient
de notre pièce...) Celle-ci m'empêcha de dormir
jusqu'à 5h00... pour continuer à me réveiller
régulièrement jusqu'à 6h... T_T
Ben dis donc, ya de l'animation dans ta fac !! C'est chiant les profs mauvais quand même, j'en ai un ou deux et c'est très pénible !
RépondreSupprimerTardisGirl : Oui, on est pas animé par les problèmes de grève nous, seulement par les profs. xD Cela dis, j'ai quand même eu d'autres très bons profs. =)
RépondreSupprimerEt tu gardes ton sang froid??? Oh puis tous les profs ne sont pas géniaux!!!! C'est la vie
RépondreSupprimerLeJournaldeChrys : Oui, je garde mon sang froid, je ne vois pas l'intérêt de s'énerver contre un prof en fait. Ok, ils ont des ratés (et des gros pour certains), mais ce n'est pas en s'énervant que le prof sera changé. On fait avec, c'est tout. =)
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