
Aux alentours des premières minutes de l'année, la tradition veut que l'on prenne une ou plusieurs bonnes résolutions. Les bulles alcoolisées aidant, on se lance dans des défis périlleux : arrêter son addiction au chocolat, devenir subitement une fée du logis ou commencer les entraînements pour les prochains J.O de footing.
Sauf que, les bulles alcoolisées finissent par éclater. Et c'est là que, lucide, on se dit que cette année encore, on ne tiendra pas sa foireuse bonne résolution.
Dans le lot, il y a également la personne qui se lance dans l'indémodable : je prends la résolution de ne pas prendre de résolution. Un jour, j'ai été cette personne (je vous l'ai dit, il en faut toujours une !). Et cela fait des années que je la tiens.
J'entends de là les mauvaises langues qui diront que ma bonne résolution est trop facile pour compter, toussa tousa. Et bien je répondrai qu'il faut essayer de la prendre, pour juger de sa difficulté. Les trois / quatre premières années, c'est finger in the nose. Mais un jour, on se réveille le 1er Janvier, en étant assailli de toutes ces personnes qui prennent leur(s) bonne(s) résolution(s) : au J.T, sur les blogs, sur facebook ou à la radio. Là, tu te dis : je n'en fais pas partie. Et finalement, c'est là que la lutte pour tenir sa bonne résolution commence...
Cette année, j'ai failli craquer. Je trouvais ça sympa de, chaque jour, prendre une photo. Et de continuer, day after day, pour voir ce que ça donnerait. Mais je suis forte. I will survive. Et cette année encore, je tiens ma bonne résolution.
Happy New Year 2011.
(C'est moi ou 2011, c'est pas très beau comme chiffre ? ^^)
(Et pour fêter la nouvelle année, petite surprise qui arrive demain...)